Un « roman polar » qui vaut le détour
Certes, je ne suis pas une grande lectrice de romans noirs mais j’ai le sentiment très agréable d’avoir lu un livre jamais lu auparavant avec ce polar féministe (l’enquêtrice est une « commandante ») sur le thème du viol et dans le contexte moderne du web et ses réseaux sociaux.
Les dialogues sont très vivants, les descriptions précises en peu de mots, et comme dans Les loups du remords, le 1er roman de Marie-Hélène Branciard, une sorte de bande-son musicale accompagne l’histoire qui se déroule morceau par morceau jusqu’à former le puzzle entier.
A aucun moment je n’ai eu la sensation dérangeante d’une complaisance malsaine dans les scènes de violence et l’autrice a ménagé des respirations bienvenues : le livre parle tout autant de solidarité et d’amour et a un côté « club des cinq » pour adultes malgré la dure réalité du propos. De même, alors que plusieurs personnages sont lesbiens, je n’ai jamais eu le sentiment d’un livre communautaire.
Les dialogues sont très vivants, les descriptions précises en peu de mots, et comme dans Les loups du remords, le 1er roman de Marie-Hélène Branciard, une sorte de bande-son musicale accompagne l’histoire qui se déroule morceau par morceau jusqu’à former le puzzle entier.
A aucun moment je n’ai eu la sensation dérangeante d’une complaisance malsaine dans les scènes de violence et l’autrice a ménagé des respirations bienvenues : le livre parle tout autant de solidarité et d’amour et a un côté « club des cinq » pour adultes malgré la dure réalité du propos. De même, alors que plusieurs personnages sont lesbiens, je n’ai jamais eu le sentiment d’un livre communautaire.