Musique, voilà l’été !

21 juin, fête de la musique et début de l’été… un p’tit tour dans mes créations autour de ce thème ?

L’été, le soleil, la chaleur et les escapades

Un dessin de Jacqueline Muller Grugnardi m’a fait écrire sur le soleil, son ambiguïté : indispensable mais pas à trop haute dose ! C’est dans le petit dernier : le recueil Lignes d’encre et de mots . Je vous le mets en lecture libre dans la rubrique Extraits et inédits où vous pouvez aussi découvrir la chaleur douce et coquine des Cajoleries aguicheuses et Déclarations festives 

Vois, valse et voyage !

L’occasion de  de se balader dans Lyon avec La voleuse ? Plusieurs pages se passent en été, en voici un petit morceau.
Un tour en bord de mer ? au bord de la mer / je plante mes pieds / dans le sable / et c’est l’amer / qui se trouve défié / cartes sur table. [Dire ma terre , poème à Z comme Zen] Des Échappées belles,  un temps qui se prête à faire vibrer la Corde sensible, au voyage réel ou imaginaire, l’émerveillement (L’œil poète). Je vous invite au Souk aux mystères, en Musiques ! bien sûr… avec une robe rouge ?  D’une manière ou d’une autre, épanouir l’instant (Charmeraie) … et en profiter pour envoyer des cartes aux gens qu’on aime ?

L’été, la blessure intime.

L’été pour moi est d’abord un temps à guérir. C’est écrit dans mon premier livre, témoignage qui n’est plus disponible, et dans Le cœur capitaine d’une funambule  recueil de poésie illustrée qui emprunte plusieurs images à la musique : berceuse tenace / qui ferait lâcher prise / à tout ce qui menace ; zéphyr en la mi do ; mélodie d’un blues saphir / des mots qui font la ronde / pour éployer du silence sur les désirs ; dans le soleil swinguer libre d’hier […] suivre sans partition / la mélopée d’Éole jusqu’au chant des impossibles.
La musique existe aussi dans Dire ma terre on y croise, en plus d’un air de contrebasse (je vous en reparle en hiver) et du flamenco (cf. article Hop, ça danse !, une chanson d’Alain Souchon qui m’a donné Rien qu’une vie.

L’été, le temps de la lecture

Quelques pages à lire ici ou là, en glissant le signet  Un air d’été rieur pour s’arrêter et reprendre comme on veut ?